jeudi 22 janvier 2015

Le Code Juif

LE CODE DU JUIF

(Extraits du Talmud)

Ci-après quelques versets cueillis dans le Talmud, code religieux des Juifs. Ces passages ayant été traduits de l’hébreu en français, par les tribunaux de France, le roi de France ordonna, en 1489, de brûler toutes les copies du Talmud.

Note :- Il y a plusieurs mots qui nécessitent quelque explication. Les voici :

Talmud : Collection des lois civiles et religieuses juives; autorité suprême qui décide de la conduite des Juifs.

Torah : Les cinq premiers livres de l’Ancien Testament (Pentateuque).

Goy : Toute personne non-juive. (Au pluriel : goyim).

Chaque citation est accompagnée du chapitre et du verset du livre d’où elle est tirée.

1. « Nous te prions, Seigneur, d’infliger ton courroux aux nations qui ne croient pas en Toi. Retire-leur, Seigneur, tout espoir. Détruis tous les ennemis de ta nation. »
(Synagoga Judaica, p. 212. Minhagen, p. 23. Crach Chaim, 480 Magah).

2. « Les enseignements du Talmud sont au-dessus de toutes les autres lois; ils sont plus importants que les lois de Moïse. »
(Rabbin Ismaël, rabbin Chambar, et al.).

3. « Les décisions du Talmud sont les paroles du Dieu Vivant. Jéhovah Lui-même demande l'opinion des rabbins de la terre quand il y a des problèmes difficiles dans le Ciel. » 

4. « Jéhovah lui-même étudie le Talmud debout, ayant un si grand respect pour ce livre. » (Traité Mechilla).

5. « C’est un grand péché de douter de la parole des rabbins que de celle de la Torah. » (Mishna Sanhedrin, 11:3).

6. « Il est défendu de divulguer les secrets de la loi, et celui-là qui le ferait serait aussi coupable que s'il détruisait le monde entier. »
(Jektut Chadasz, 171, 3).

7. « Tout goy qui étudie le Talmud et tout Juif qui l'aide à le faire mérite la mort. »
(Sanhedrin, 59a, Aboda Zoaa 8-6, Szagiga 13).

8. « Communiquer un renseignement à un goy sur nos enseignements religieux serait égal au meurtre de tous les Juifs, parce que si les goyim savaient ce que nous enseignons à leur sujet, ils nous tueraient tous ouvertement. »
(Libbre David, 37).

9. « Si on demande à un Juif d’expliquer une partie les livres des rabbins, il doit donner seulement une explication fausse. Celui qui violera cet ordre sera mis à mort. »
(Libbre David, 37).

10. « Un Juif doit faire et est tenu de faire un faux serment quand les goyim demandent si nos livres contiennent quelque chose contre eux. » 
(Szaaloth-Utszabot, Jore Dia, 17).

11. « Les Juifs sont des êtres humains, mais les nations du monde ne sont pas des êtres humains, mais des bêtes » 
(Saba Mecia 114, 6).

12. « Quand le Messie viendra, chaque Juif aura 2,800 esclaves. »
(Simeon Haddarsen, fol. 56-D).

13. « Jéhovah a créé le non-juif sous une forme humaine afin que les Juifs n’aient point à être servis par des bêtes. Le non-juif est par conséquent un animal sous une forme humaine, et condamnée à servir le Juif jour et nuit. »
(Midrasch Talpioth, p. 225-L).

14. « Dès que le Roi-Messie paraîtra, il détruira Rome et en fera un désert. Des épines et de ronces croîtrons dans le palais du Pape. Alors il commencera une guerre sans merci contre les non-juifs et les subjuguera. Il les égorgera en masse, il tuera leurs rois et dévastera tous les pays. Il dira aux Juifs : « Je suis le Roi-Messie que vous avez attendu, enlevez l'argent et l'or des goyim. »
(Josué, 60, 6; Rabbin Abarbanel à Daniel, 7, 13).

15. « Une fille non-juive âgée de trois ans peut être violée. »
(Aboda Zarah, 37a).

16. « Un Juif peut violer, mais non marié une fille non juive. »
(Gad. Shas. 2 :2).

17. « Un Juif peut faire à une non-juive ce qu’il peut. Il peut la traiter comme il fait d’un morceau de viande».
(Nazarine, 20, B ; Schulchan Aruch, Chos. Hamis. 348).

18. « Un Juif peut abuser la non-juive qui n’est pas convertie».
(Maïmonide, Jak. Chasaka 2:2).

19. « Si un goy tue un autre goy ou un Juif, il est responsable; mais si un Juif tue un goy, il n'est pas responsable. »
(Tosefta. Aboda Zara, 8, 5).

20. « Il est permis de tuer un dénonciateur juif partout; il est permis de le tuer même avant qu'il dénonce. »
(Schulchan Aruch, Chos. Hamis. 398).

21. « Tu ne dois pas faire de mal à ton prochain (Bible), mais il n'est pas dit : "Tu ne dois pas faire de mal à un goy". »
(Mishna, Sanhedrin, 57).

22. « Quand vous allez à la guerre, n’y allez pas les premiers, mais les derniers afin que vous puissiez revenir les premiers. Kanaan a recommandé cinq choses à ses fils : « Aimez-vous les uns les autres, aimez le vol, haïssez vos maîtres et ne dites jamais la vérité. »
(Pesachim, F. 113B).

23. « Le viol, la fourberie et le parjure sont permis aux Juifs ; mais il doit prendre garde de n’être pas découvert, afin qu'Israël n’en souffre pas».
(Schulchan Aruch, Jore Dia).

24. « Un Juif peut voler un goy – c’est-à-dire, il peut le tromper sur un compte, s’il est probable qu’il s’en aperçoive pas. »
(Schulchan Aruch, Chos. Hamis., 348).

25. « Si un goy veut qu’un Juif témoigne contre un autre Juif devant une cour de Justice, et si le Juif pourrait donner une bonne preuve, il lui est défendu de le faire ; mais si un Juif veut qu’un autre Juif soit témoin dans une cause semblable contre un goy, il peut le faire. »
(Schulchan Aruch, Chos. Hamis., 28, Art. 3 et 4).

26. « Ceux qui ne confessent pas la Torah et les Prophètes doivent être tués. Que ceux qui ont le pouvoir de les tuer les tuent au grand jour avec le glaive. Sinon, qu’on emploie l’artifice, jusqu'à ce qu'on s’en soit débarrassés».
(Schulchan Aruch. Chos. Hamis., 425,5).

27. « Toute la propriété des autres nations appartient à la nation juive, qui, par conséquent, à le droit de s’en saisir sans scrupule. Un Juif orthodoxe n'est pas tenu d'observer les principes de la morale envers les personnes d’autres races. Il peut agir contrairement à la morale, si ça lui est profitable pour lui ou aux Juifs en général. »
(Schulchan Aruch. Chos. Hamis., 348).

28. « Si un Juif informait les autorités des goyim qu'un autre Juif a beaucoup d'argent et que cet autre juif soufrât d’une perte à cause de cela, il doit lui donner une rémunération. »
(Schulchan Aruch, Chos. Hamis., 388).

29. « Comment interpréter le mot "vol". Dérober, voler ou prendre des femmes esclaves, etc. à un goy ou à juif est défendu pour un goy. Mais il n’est pas défendu à un Juif de faire tout cela à un goy. »
(Tosefta, Abda Zara, V111, 5).

30. « On considère la maison du goy comme un abri pour les bestiaux. »
(Tosefta, Erubin V11, 1).

31. « Tous les vœux, serments, promesses, engagements et jurements, que, à partir de ce jour même de réconciliation, nous avons l’intention de jurer, promettre et nous engager à remplir, nous nous repentons d'avance ; qu’ils soient tenus pour inexistants, pardonnés, annulés, abolis, sans valeur et sans effet. Les vœux ne seront pas des vœux et les serments ne seront pas du tout des serments. »
(Schulchan Aruch, Edit 1, 136).

32. « Aucun goy n’a la permission de fabriquer tout ce dont a besoin un Juif pour le rituel de sa religion, mais un juif seul à cette permission, parce que cela doit être fait par des êtres humains, et il n’est pas permis aux juifs de considérer les goyim comme des êtres humains. »
(Schulchan Aruch, Orach Chaim 14, 20, 33, 39. Tal. Job., 61).

33. « Une sage-femme juive n’a pas seulement la permission d’aider une mère juive le samedi (sabbat juif), mais elle a l’obligation de le faire, même si en agissant ainsi elle est forcée de faire ce qui autrement profanerait le sabbat. Mais il est défendu d’aider une femme non-juive même s’il était possible de le faire, parce qu’elle doit être considérée seulement comme un animal»
Schulchan Aruch, Orach Chaïm 330).

34. « Au moment de Sholhamed, toute transaction de n’importe quelle sorte est défendue. Mais il est permis de tromper un goy, parce que tromper les goyim en tout temps plaît au Seigneur »
(Schulchan Aruch, Orach Chaim, 539).

35. « Il est strictement défendu aux Juifs de tromper leurs frères et c’est considéré comme tromperie si un sixième de leur valeur leur a été enlevé. Quiconque a trompé son frère doit lui restituer. Naturellement tout cela n’est applicable qu’aux Juifs, il lui est permis de voler un goy et ne lui est pas permis de lui retourner ce qu’il a volé parce que la Bible dit : « Tu ne voleras pas ton prochain », mais les non-juifs ne sont pas nos prochains, mais, comme il est mentionné plus haut, ils sont moins que des chiens. »
(Aruch, Chos. Hamis., 227).

Une prophétie de Benjamin Franklin.

M. Charles Cotesworth Pinckney, l’un des auteurs de la constitution des États-Unis a publié dans sa chronique : « Le docteur Benjamin Franklin, vénérable figure appesantie par les ans et la sagesse, s’appuya d’une main sur sa canne et de l’autre sur la table et dit : ‘Il y a une menace plus grande pour ces États-Unis d’Amérique que la menace romaine. Cette plus grande menace, Messieurs, c’est le Juif. En quelque pays que les Juifs se soient installés en grand nombre, ils en ont abaissé le niveau moral; ils ont déprécié son intégrité commerciale et ils se sont isolés; ils ne sont pas assimilés; ils ont ridiculisé et essayé e miner par la base la religion chrétienne sur laquelle cette nation est fondée, en s’objectant à ses restrictions; ils ont bâti un état dans l’État, et lorsqu’ils ont eu de l’opposition, ils ont essayé d’étrangler à mort ce pays financièrement.

Si vous ne les excluez pas des États-Unis dans cette constitution, dans moins de deux cents ans ils auront pénétré ici en si grand nombre qu’ils domineront et dévoreront notre terre, ils changeront notre forme de Gouvernement pour laquelle nous avons répandu notre sang, donné nos vies, notre substance, risqué notre liberté, et y avons mis nos meilleures pensées.

Messieurs, les Juifs sont des Asiatiques. Ils ne seront jamais autrement, quel que soit le lieu où ils naissent ou le nombre de leurs générations depuis leur départ d’Asie. Leurs idées ne conviennent pas à celles d’un Américain, même s’ils vivent parmi nous pendant dix générations. Un léopard ne peut changer ses taches. Les Juifs sont des Asiatiques, ils sont une menace pour ce pays si l’entrée leur est permise et devraient être exclus par cette constitution ».

Le journal juif de Seattle, « Jewish Transcript », en date du 29 mai 1936, admet que : « Les communistes sont contrôlés par les juifs »; alors il conviendrait de rapporter une parole de Karl Marx (Mordecai), le fondateur Juif du Socialisme et du Communisme, lorsqu’il dit : « C’est en vain que nous cherchons la clef du labyrinthe de l’âme juive dans sa religion. Au contraire, on doit rechercher le mystère de sa religion dans le mystère de la nature. Quelle est la base du Judaïsme? Une passion pratique et la soif du gain. A quoi pouvons-nous résoudre sa religion? A l’extorsion. Qui est leur vrai Dieu? L’argent comptant ».

M. Henry Ford disait un jour : « Encagez cinquante des plus riches juifs et il n’y aura plus de guerre ».

Le journal quotidien juif de New York « Der Tag » en page éditoriale, le 9 avril 1936, dit : « Les juifs d’Amérique, à cause de leur nombre, leur intérêt et leur habilité constituent une grande force politique. Ils n’ont pas usurpé de pouvoir. Ils leur appartiennent de droit. Ils vont l’exercer quand ils le jugeront à propos. Que pouvez-vous y faire? »

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