En cette journée de la Nativité
de Saint Jean Baptiste nous désirons souhaiter une excellente fête à nos
compatriotes canadiens-français!
Nous espérons une renaissance de
l’esprit chrétien à notre grand peuple. La porte étant ouverte nous allons
encore frapper sur le nouveau peuple Québécois.
Saint Pie X nous a donné, à la race canadienne-française, Saint Jean
Baptiste comme patron national. Tous ces Québécois
qui iront fêter aux plaines d’Abraham (dans la ville de Québec) et ailleurs
dans la province se font croire que ces leurs fêtes, mais pantoute!(1) Ces Québécois, ce peuple de révolté, qui
lutte contre l’Église et qui a une haine
viscérale de l’Anglais, mais ce qu’il y a de plus ironique dans cette haine-là
est que le mot québécois a été inventé par les Anglais eux-mêmes (avec le « Province of Quebec »). Le vrai Canadien-français
n’a aucun problème avec le monde anglophone, mais seulement et uniquement la
détestation de l’erreur des sectes dites chrétiennes, du protestantisme,
anglicanisme, etc.
Notre peuple avait une mission,
celle de propager le catholicisme en Amérique du Nord. Chez les peuples
sauvages et chez nos amis le peuple anglo-saxon. Le meilleur exemple est
Monseigneur Bourget, évêque de Montréal, qui a envoyé plusieurs missionnaires
aux États-Unis et au Canada anglais. Cet évêque a travaillé d’arrache-pied pour
permettre à nos frères anglais de pouvoir gouter à la vérité du Bon Dieu.
En Canada, nous n’avons pas connu
la révolution de 1789 et toute son horreur, nous l’avons plutôt connu dans les
années 60 dans la révolution dite tranquille qui fut loin d’être tranquille. Il
y a eu un chambardement, un changement de direction, le Québécois naissant s’est fait accroire qu’il était maître de sa
destinée. Il s’est fait sa propre histoire, sa conception de la liberté a été
prise du monde protestant. Vous pouvez constater l’ironie dans cette vision du
monde québécois.
Le Canadien a voulu convertir le
monde anglo-saxon, le Québécois lui s’est
fait convertir par le monde judéoprotestant. Comment ne pas avoir honte si nous
regardons nos ancêtres venus de la Bretagne, de la Normandie qui pour certain
on même donné leur sang tel un Dollard des Ormeaux pour sauver la patrie
naissante, la honte de voir qu’ils vont fêter en dansant autour d’un feu comme
d’une idole et en se saoulant comme le pire peuple païen.
Ils vont brandir le drapeau fleur de lysée en se faisant croire qu’il n’y
a rien de catholique dans celui-ci. Qu’est-ce que nous apercevons dans ce drapeau
fleur de lysée? Les lis symbole de la France royaliste, la croix blanche
symbole de notre foi. Vous voyez dans le lys la Sainte Trinité, vous pouvez
aussi voir les trois vertus théologales que peu de gens connaissent. Ces vertus
sont la foi, l’espérance et la charité. Alors nous allons voir beaucoup de fleurs
de lysées brandi avec fierté par les bandits de Québécois.
Comment ne pas avoir le cœur déchiré de voir notre emblème repris
par ces païens sans histoire?
Le canadien-français doit défendre sa foi et ses traditions
si nobles, qui ont fait la force de son peuple, et en ont assuré la survivance.
Il est armé pour combattre le matérialisme et gagner la victoire du
spiritualisme. Il peut compter sur l’aide de Dieu, s’il demeure fidèle à sa
mission.
Voici un passage tiré d’un livre envoyer par un ami « Lambert Closse, La Réponse de la race: Catéchisme
national. »
251. Comment appelez-vous la
disposition d'âme habituelle d'un catholique devant son devoir national ?
Cet état d'âme, c'est la piété patriotique, c'est une vertu.
252. La piété patriotique est-elle obligatoire ?
Oui, c'est une vertu dont la pratique est obligatoire, elle est un ordre de Dieu. (Gonzague de Reynold).
253. Si la piété patriotique est un ordre de Dieu, nous ne sommes pas libres d'être et d'agir à notre guise ?
Non. « Nous ne sommes pas libres d'agir sans piété à l'égard de notre patrie pas plus qu'à l'égard de nos parents, pas plus que nous sommes libres d'être et d'agir sans religion à l'égard de Dieu. » (Gonzague de Reynold).
254. Comment appelez-vous celui qui agit avec piété à l'égard de sa patrie ?
Un homme de devoir, un patriote.
255. Quelles formes doit revêtir l'accomplissement de notre devoir de patriotisme ?
Il faut tenir compte du passé, du présent et de l'avenir.
256. Comment la patrie peut-elle exister dans le passé ?
La patrie, ce sont nos ancêtres et nous-mêmes.
Cet état d'âme, c'est la piété patriotique, c'est une vertu.
252. La piété patriotique est-elle obligatoire ?
Oui, c'est une vertu dont la pratique est obligatoire, elle est un ordre de Dieu. (Gonzague de Reynold).
253. Si la piété patriotique est un ordre de Dieu, nous ne sommes pas libres d'être et d'agir à notre guise ?
Non. « Nous ne sommes pas libres d'agir sans piété à l'égard de notre patrie pas plus qu'à l'égard de nos parents, pas plus que nous sommes libres d'être et d'agir sans religion à l'égard de Dieu. » (Gonzague de Reynold).
254. Comment appelez-vous celui qui agit avec piété à l'égard de sa patrie ?
Un homme de devoir, un patriote.
255. Quelles formes doit revêtir l'accomplissement de notre devoir de patriotisme ?
Il faut tenir compte du passé, du présent et de l'avenir.
256. Comment la patrie peut-elle exister dans le passé ?
La patrie, ce sont nos ancêtres et nous-mêmes.
CHAPITRE SEPTIÈME
PSYCHOLOGIE DE LA PIÉTÉ NATIONALE
PSYCHOLOGIE DE LA PIÉTÉ NATIONALE
257. Comment doit-on considérer un enfant qui
n'aime pas sa mère ?
C'est un monstre.
258. Et celui qui n'aime pas sa patrie ?
C'est un monstre national.
259. Qu'est-ce que la patrie pour un Canadien-français ?
C'est une mère.
260. Que faut-il pour aimer quelqu'un ?
Pour aimer quelqu'un, il faut d'abord le connaître.
261. Pour aimer notre patrie, que faut-il ?
Il faut la connaître et pour la connaître, il faut l'étudier.
262. Quelles études s'imposent pour connaître notre patrie ?
L'étude de la géographie du Canada, l'étude de notre histoire, l'étude de l'Eglise au Canada, l'étude de nos devoirs nationaux.
263. Quelle sera la conclusion de ces études ?
La conclusion sera que le Canada est le plus beau pays du monde, que notre histoire est digne de l'histoire de France jusqu'à Louis XV et que l'existence de la race française en Amérique est un miracle de l'Eglise catholique.
264. Quelle est la place de notre étude nationale ?
Immédiatement après celle de notre religion.
265. N'est-ce pas trop de prétention ?
Nullement, parce que celui qui ne connaît pas et n'aime pas sa patrie, quoique savant par ailleurs, n'est qu'un monstre national.
266. Pour arriver à vivre notre patriotisme, que faut-il faire ?
Il nous faut un entraînement pratique et quotidien.
267. Comment s'entraîner à aimer sa patrie ?
Un Canadien français ne devrait pas laisser passer une journée sans apprendre quelque chose de son pays et de ses ancêtres et sans prier pour sa patrie.
268. Doit-il se contenter d'apprendre ?
Non, il faut aussi faire quelque chose pour les siens, agir nationalement.
269. Comment pouvons-nous agir nationalement ?
Nous agissons nationalement quand nous nous acquittons d'une façon parfaite de nos devoirs individuels et religieux d'homme privé et d'homme public.
270. Est-ce que nous pouvons séparer d'une façon concrète le catholique du Canadien français qui est en nous ?
Non, nous ne le pouvons pas, ils seront unis jusqu'à la mort.
271. Ainsi pouvons-nous ne pas agir en catholique quand nous agissons en patriotes ?
Non, nous avons toujours et partout l'obligation de servir Dieu.
272. Qui doit avoir la priorité, Dieu ou la patrie ?
La patrie doit toujours être au service de Dieu et de son Eglise, c'est là l'Action catholique.
C'est un monstre.
258. Et celui qui n'aime pas sa patrie ?
C'est un monstre national.
259. Qu'est-ce que la patrie pour un Canadien-français ?
C'est une mère.
260. Que faut-il pour aimer quelqu'un ?
Pour aimer quelqu'un, il faut d'abord le connaître.
261. Pour aimer notre patrie, que faut-il ?
Il faut la connaître et pour la connaître, il faut l'étudier.
262. Quelles études s'imposent pour connaître notre patrie ?
L'étude de la géographie du Canada, l'étude de notre histoire, l'étude de l'Eglise au Canada, l'étude de nos devoirs nationaux.
263. Quelle sera la conclusion de ces études ?
La conclusion sera que le Canada est le plus beau pays du monde, que notre histoire est digne de l'histoire de France jusqu'à Louis XV et que l'existence de la race française en Amérique est un miracle de l'Eglise catholique.
264. Quelle est la place de notre étude nationale ?
Immédiatement après celle de notre religion.
265. N'est-ce pas trop de prétention ?
Nullement, parce que celui qui ne connaît pas et n'aime pas sa patrie, quoique savant par ailleurs, n'est qu'un monstre national.
266. Pour arriver à vivre notre patriotisme, que faut-il faire ?
Il nous faut un entraînement pratique et quotidien.
267. Comment s'entraîner à aimer sa patrie ?
Un Canadien français ne devrait pas laisser passer une journée sans apprendre quelque chose de son pays et de ses ancêtres et sans prier pour sa patrie.
268. Doit-il se contenter d'apprendre ?
Non, il faut aussi faire quelque chose pour les siens, agir nationalement.
269. Comment pouvons-nous agir nationalement ?
Nous agissons nationalement quand nous nous acquittons d'une façon parfaite de nos devoirs individuels et religieux d'homme privé et d'homme public.
270. Est-ce que nous pouvons séparer d'une façon concrète le catholique du Canadien français qui est en nous ?
Non, nous ne le pouvons pas, ils seront unis jusqu'à la mort.
271. Ainsi pouvons-nous ne pas agir en catholique quand nous agissons en patriotes ?
Non, nous avons toujours et partout l'obligation de servir Dieu.
272. Qui doit avoir la priorité, Dieu ou la patrie ?
La patrie doit toujours être au service de Dieu et de son Eglise, c'est là l'Action catholique.
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« …car ton bras sait porter l’épée,
il sait porter la Croix...et ta valeur, de foi trempée, protégera nos foyers et
nos droits. » Hymne des canadiens-français qui a été mal repris
pour essayer d’en faire l’hymne du Canada entier.
Prions principalement Saint Jean
Baptiste protecteur de la race canadienne-française qu’il nous vienne en aide
pour la préservation de notre patrie et tout particulièrement la foi catholique
puisse renaître parmi les décombres. Les petits restants ceux qui ont voulu
rester Canadien-français, c’est-à-dire catholique, et qui résistent à l’envahisseur
judéomaçonnique.
Saint Jean Baptiste, venez-nous
en aide!
Jacques Cartier plantant la croix à Gaspé avec comme inscription « Vive le Roy de France »
(1) pour nos amis d’ailleurs cela
signifie « pas du tout »!
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