Aujourd’hui nous allons paraître jouer aux bourreaux. Vous
pouvez voir cela comme une personne qui a la gangrène prit à une jambe et qu’un
médecin va la couper, au début cela paraît seulement cruel, mais à fin le médecin
a réussi à sauver le corps entier pour un seul membre perdu.
Il y a une problématique que même certains prêtres ne
veulent pas parler de peur de « froisser » quelques personnes et
faire de la « discrimination » envers les familles aillant plus de filles
que de garçon. Eh oui! Nous allons parler du fameux port de pantalon.
Cet écrit se fera de la part d’une femme à une autre, et
même au jeune homme et mari. La question de l’importance de rester féminine et
de ne pas devenir simplement féministe est grave. Certaine personne non même
pas l’air de se rendre compte de ce trouble majeur.
Pour un petit aperçu, dans la bible il est clairement
indiqué : « Une femme ne mettra point un vêtement d’homme, et un
homme ne se servira point d’un vêtement de femme; car il est abominable devant
Dieu, celui qui fait cela » Deutéronome
22 : 5
Pourquoi tant de femmes s’acharnent à laisser de côté sa
féminité et tout ce qui fait son charme pour ressembler à un homme? La réponse
est simple, la femme refuse d’être une femme et veut être « l’égale »
de l’homme. Ce qu’elles oublient c’est qu’il n’y a aucune égalité, mais un
complément. C’est du féminisme pur et simple de vouloir l’égalité entre les
sexes. Pour une simple question « d’égalité » et de port de pantalon,
la femme laisse tomber son rôle et la famille est maintenant démolie.
Nous savons que la femme
révoltée a entraîné le monde à la perversité. Nous avons la fâcheuse impression
de voir des filles d’Ève au lieu des filles de la Sainte Vierge Marie. La Sainte
Vierge elle-même nous avertit à Fatima : « Il viendra des modes qui offenseront beaucoup mon Divin Fils. »
Plusieurs femmes diront qu’avoir une jupe ou une robe entraine des
difficultés pour certaines activités. Oui, cela est vrai. Par contre, lesdites
activités surtout celle qui sont un simple amusant peuvent très bien être
remplacé par autre chose. Si ces activités ne se font pas en robe ou en jupe,
alors très simplement, changer d’activité. Nous ne sommes pas sur terre pour
avoir que ce que l’on désire.
Il ne faut pas oublier qu’autrefois (et même aujourd’hui) les femmes
portaient leurs vêtements respectifs pour faire plusieurs choses.
Voici quelques images que j’ai trouvées représentant des femmes dans les
années 1800 (où le pantalon d’homme n’était aucunement porté par les
femmes) :
Raquette, patin, luge…
guerre
de balle de neige
Ce qui est amusant dans ces images c’est que cela se passe en hiver… Même le froid ne faisait pas peur à ces dames. Il ne faut pas oublier que faire de la bicyclette, du ski se fait très bien aussi.
Le jardin et les petits travaux d’extérieur, les travaux et corvées dans
la maison, l’éducation des enfants, les courses au village ou à la ville ce
font autant en jupes qu’en robe.
Sans compter le fait que les femmes ou jeunes filles portent les robes
et jupes à l’Église, mais rendues à la maison elles se dévêtissent pour s’envelopper
d’un « short » ou d’un pantalon ». Ce n’est pas seulement à l’Église
que celles-ci doivent ressembler à des femmes, mais partout et en tout temps!
Le Cardinal Siri à donner trois aspects négatifs au pantalon
dans son avertissement suivant :
« 1 : Il modifie la mentalité des femmes : Refus de la féminité,
rivalité avec l’homme.
2 : Il tend à vicier les rapports entre l’homme et la femme : Sans le frein de la pudeur, les relations entre l’homme et la femme sont entraînées vers la pure sensualité, à l’opposé de l’estime et du respect.
3 : Il détruit facilement la dignité d’une mère face à ses enfants : L’enfant ignore la définition de l’attentat à la pudeur, de la frivolité ou de l’infidélité ; mais il possède un sixième sens instinctif qui lui fait deviner toutes ces choses, qui l’en fait souffrir et qui en laisse son âme profondément blessée. »
2 : Il tend à vicier les rapports entre l’homme et la femme : Sans le frein de la pudeur, les relations entre l’homme et la femme sont entraînées vers la pure sensualité, à l’opposé de l’estime et du respect.
3 : Il détruit facilement la dignité d’une mère face à ses enfants : L’enfant ignore la définition de l’attentat à la pudeur, de la frivolité ou de l’infidélité ; mais il possède un sixième sens instinctif qui lui fait deviner toutes ces choses, qui l’en fait souffrir et qui en laisse son âme profondément blessée. »
Dans un petit texte du Padre Pio à une personne en 1968 il
dit : « Le
sexe féminin est le sexe délicat. Son comportement extérieur devrait être empreint
de délicatesse et d'amabilité; plus que le sexe masculin, il devrait être tout
de pudeur, de réserve. Or, tout au contraire, par leur comportement, les femmes
renversant l'ordre divin, pervertissent l'humanité, la société, la famille,
l'innocence dont elles sont entourées.
O Femmes, n'encombrez pas les plages, excitant
au péché par votre attitude! Vous troublez les yeux des hommes, sous prétexte
de leur plaire.
Que votre modèle soit la beauté, la vertu et la candeur de la douce Vierge Céleste! Ne choisissez pas Satan, le corrupteur maudit et provocant! Ne parez pas votre corps à la légère! Ce corps qui deviendra un jour, même pour les croque-morts, un objet d'horreur. Vivez dans la prudence, le bon sen et non en insensées! »
Que votre modèle soit la beauté, la vertu et la candeur de la douce Vierge Céleste! Ne choisissez pas Satan, le corrupteur maudit et provocant! Ne parez pas votre corps à la légère! Ce corps qui deviendra un jour, même pour les croque-morts, un objet d'horreur. Vivez dans la prudence, le bon sen et non en insensées! »
Présentement
nous avons aussi un autre danger. Nous voyons de plus en plus à la chapelle de
Montréal (et d’ailleurs…) la « libéralisation » de la femme. Nous
remarquons que plus le temps passe, plus les femmes et jeunes filles se « lâchent
lousses » (laissent aller) pour la décence dans leurs vêtements. Les décolletés
se font moins rares et les jupes ou robes rapetissent en longueur.
Auraient ont oublié
les conseils de modesties chrétiennes ? La question se règle facilement
quand nous nous regardons dans un miroir. « Est-ce que mon vêtement peut provoquer
des regards ou des pensées impures ? » Oui ? Alors, jette cela à la
poubelle ! Si le fait de s’assoir évoque une jupe courte ou
se pencher évoque un énorme trou qui laisse voir la poitrine alors ces vêtements
ne conviennent pas à des catholiques. Eh oui, c’est pratiquement une question
de centimètres, contrairement à ce que l’abbé Wegner a dit à propos du
vêtement. Ce sont des centimètres qui peuvent déterminer si vous vous dirigez
vers l’enfer ou le ciel, par le fait d’être trop haut ou trop bas pour mettre
le prochain ou soi-même en péché. Sinon mesdemoiselles et mesdames, apprenez à
faire de la couture et à rajouter des pièces !
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