Ce que Nous
avons exposé jusqu'ici de cette très étroite union du Corps mystique du Christ
avec son Chef Nous semblerait incomplet si Nous n'ajoutions au moins quelques
mots sur la sainte Eucharistie, par laquelle une telle union trouve comme son
sommet en cette vie mortelle. Car, par la volonté du Christ Notre-Seigneur, ce
lien admirable, qu'on n'exaltera jamais assez, qui nous unit entre nous et avec
notre divin Chef, est manifesté d'une manière spéciale aux fidèles par le
Sacrifice eucharistique. Là, en effet, les ministres sacrés ne tiennent pas
seulement la place de notre Sauveur, mais de tout le Corps mystique et de
chacun des fidèles; là encore, les fidèles eux-mêmes, unis au prêtre par des
voeux et des prières unanimes, offrent au Père Eternel l'Agneau immaculé, rendu
présent sur l'autel uniquement par la voix du prêtre; ils le lui offrent par
les mains du même prêtre, comme une victime très agréable de louange et de
propitiation, pour les nécessités de toute l'Eglise. Et de même que le divin
Rédempteur mourant sur la Croix s'est offert, comme Chef de tout le genre
humain, au Père Eternel, ainsi, en cette offrande pure (164), non seulement il
s'offre comme Chef de l'Eglise, au Père céleste, mais en lui-même il offre
aussi ses membres mystiques, puisqu'il les renferme tous, même les plus faibles
et les plus infirmes, dans son Coeur très aimant.
Le sacrement de l'Eucharistie, tout en constituant une vive et admirable image
de l'unité de l'Eglise - puisque ce pain destiné à la consécration est formé
par l'union de beaucoup de grains (165) -, nous communique l'auteur même de la
grâce céleste, pour que nous puisions en lui cet Esprit de charité par lequel
nous vivons, non plus notre vie, mais la vie du Christ, et par lequel aussi,
dans tous les membres de son Corps social, nous aimons notre Rédempteur
lui-même.
Si donc, dans les circonstances si tristes qui nous angoissent à l'heure
présente, beaucoup d'hommes s'attachent au Christ Notre-Seigneur caché sous les
voiles eucharistiques, au point que ni la tribulation, ni l'angoisse, ni la
faim, ni la nudité, ni les périls, ni la persécution, ni le glaive ne puissent
les séparer de son amour (166), alors, sans aucun doute, la sainte Communion,
providentiellement ramenée de nos jours à un usage plus fréquent, même dès l'enfance,
pourra devenir la source de cette force qui va souvent jusqu'à exciter et
entretenir l'héroïsme chez les chrétiens.
Ce sont ces vérités, Vénérables Frères, qui, pieusement et correctement
comprises des fidèles, et par eux diligemment gardées, les aideront aussi à
éviter plus facilement les erreurs qui naissent de l'étude de cette doctrine
difficile, menée par certains selon leurs propres idées, non sans grand danger
pour la foi catholique et perturbation pour les esprits.
On en trouve, en effet qui, ne remarquant pas assez que saint Paul n'emploie
ici les mots qu'au sens figuré, et ne distinguant pas, comme il le faut
absolument, les sens particuliers et propres de corps physique, moral,
mystique, introduisent une fausse notion d'unité, quand ils font s'unir et se
fondre en une personne physique le divin Rédempteur et les membres de l'Eglise;
et tandis qu'ils accordent aux hommes des attributs divins, ils soumettent le
Christ Notre-Seigneur aux erreurs et à l'inclination au mal de l'humaine nature.
Ce n'est pas seulement la foi et la doctrine des Pères qui répudient absolument
cette doctrine erronée, mais aussi la pensée et l'enseignement de l'Apôtre des
Gentils qui, tout en unissant d'un lien merveilleux le Christ et son Corps
mystique, les oppose pourtant l'un à l'autre comme l'Epoux et l'Epouse (167).
Non moins éloignée de la vérité l'erreur dangereuse qui, de l'union mystérieuse
du Christ avec nous tous, tente de dégager un quiétisme malsain, attribuant
toute la vie spirituelle des chrétiens et leur progrès dans la vertu uniquement
à l'action du divin Esprit, en excluant et négligeant la coopération qui doit
lui être fournie de notre part. Personne assurément ne peut nier que l'Esprit
de Jésus-Christ soit la source unique d'où toute force divine s'écoule dans
l'Eglise et dans ses membres. C'est le Seigneur, dit le Psalmiste, qui donnera
la grâce et la gloire (168).
Cependant, que les hommes persévèrent constamment dans les bonnes oeuvres,
qu'ils progressent allégrement en grâce et en vertu, qu'enfin, non seulement
ils marchent courageusement vers le sommet de la perfection chrétienne, mais
excitent aussi les autres à y tendre autant qu'ils peuvent, tout cela l'Esprit
divin ne veut pas l'opérer sans que les hommes y jouent leur rôle par leur
effort quotidien. " Les bienfaits divins, dit saint Ambroise, ne sont pas
pour ceux qui dorment, mais pour ceux qui agissent. " (169) Car si, dans
notre corps mortel, nos membres se fortifient et deviennent vigoureux par un
exercice incessant, c'est beaucoup plus vrai dans le Corps social de
Jésus-Christ, où chaque membre jouit de sa liberté propre, de sa responsabilité
et de son activité.
Aussi celui qui a dit: Si je vis, ce n'est plus moi qui vis; c'est le Christ
qui vit en moi (170), ne craignait pas en même temps d'affirmer: La grâce de
Dieu en moi n'a pas été vaine, mais j'ai travaillé plus qu'eux tous: non pas
moi, mais la grâce de Dieu avec moi (171). Il est donc manifeste que, par ces
doctrines fallacieuses, le mystère dont Nous traitons ne tourne pas au progrès
spirituel des fidèles, mais, hélas! à leur ruine.
C'est ce qui résulte aussi de la doctrine erronée d'après laquelle il ne faut
pas faire tant de cas de laconfession fréquente des fautes vénielles,
puisqu'elle le cède en valeur à cette confession générale quel'Epouse du
Christ, avec ceux de ses enfants qui lui sont unis dans le Seigneur, fait tous
les jours par ses prêtres avant de monter à l'autel. Il est vrai qu'il est
plusieurs façons, toutes très louables, comme vous le savez, Vénérables Frères,
d'effacer ces fautes; mais pour avancer avec une ardeur croissante dans le
chemin de la vertu, Nous tenons à recommander vivement ce pieux usage introduit
par l'Eglise sous l'impulsion du Saint-Esprit, de la confession fréquente, qui
augmente la vraie connaissance de soi, favorise l'humilité chrétienne, tend à
déraciner les mauvaises habitudes, combat la négligence spirituelle et la
tiédeur, purifie la conscience, fortifie la volonté, se prête à la direction
spirituelle, et, par l'effet propre du sacrement, augmente la grâce. Que ceux
donc qui diminuent l'estime de la confession fréquente parmi le jeune clergé
sachent qu'ils font là une oeuvre contraire à l'Esprit du Christ et très
funeste au Corps mystique de notre Sauveur.
Il y en a aussi qui dénient à nos prières toute valeur d'impétration proprement
dite, ou qui tentent de répandre l'opinion que les prières privées ont peu de
valeur, celles qui ont une vraie valeur étant plutôt les prières publiques
présentées au nom de l'Eglise, puisqu'elles partent du Corps mystique même de
Jésus-Christ. C'est là aussi une erreur; car le Sauveur ne s'unit pas seulement
son Eglise comme une Epouse très chère, mais encore, en elle, les âmes de
chacun des fidèles, avec lesquelles il est très désireux de s'entretenir intimement,
surtout après la sainte Communion. Et quoique la prière publique, comme
procédant de notre Mère l'Eglise, à cause de sa qualité d'Epouse du Christ,
l'emporte sur toute autre, cependant toutes les prières, même les plus privées,
ne manquent ni de valeur ni d'efficacité, et contribuent même beaucoup à
l'utilité du Corps mystique dans lequel rien de bien, rien de juste n'est opéré
par chacun des membres qui, par la communion des saints, ne rejaillisse aussi
sur le salut de tous. Et, pour être membres de ce Corps, les chrétiens
individuels ne perdent pas le droit de demander pour eux-mêmes des grâces
particulières, même d'ordre temporel, tout en restant dépendants de la volonté
de Dieu: ils demeurent, en effet, des personnes indépendantes, soumises chacune
à des nécessités spéciales (172). Quant à l'estime que tous doivent avoir de la
méditation des vérités célestes, ce ne sont pas seulement les documents de
l'Eglise qui l'indiquent et la recommandent, mais aussi l'usage et l'exemple de
tous les saints.
Enfin, certains prétendent que nos prières ne doivent pas être adressées à la
personne même deJésus-Christ, mais plutôt à Dieu ou au Père Eternel par le
Christ, puisque notre Sauveur, comme Chef de son Corps mystique, doit être
considéré seulement comme médiateur de Dieu et des hommes (173). Cette manière
de voir est cependant opposée non seulement à l'esprit de l'Eglise et à la
coutume des chrétiens, mais même à la vérité. Le Christ, en effet, pour parler
avec exactitude et précision, est la Tête de toute son Eglise à la fois selon
sa nature divine et sa nature humaine (174); et d'ailleurs c'est lui-même qui a
déclaré solennellement: Si vous me demandez quelque chose en mon nom, je le
ferai (175).
Et bien que, surtout dans le Sacrifice eucharistique - où le Christ étant à la
fois prêtre et hostie, remplit spécialement le rôle de conciliateur -, les
prières s'adressent la plupart du temps au Père Eternel par son Fils, cependant
il n'est pas rare, même dans le saint Sacrifice, qu'elles soient adressées au divin
Sauveur. Tous les chrétiens, en effet, doivent savoir clairement que l'homme
qui est le Christ Jésus est en même temps le Fils de Dieu et Dieu même. Et par
conséquent, lorsque l'Eglise militante adore et prie l'Agneau immaculé et la
sainte Hostie, elle semble ne faire que répondre à la voix de l'Eglise
triomphante qui chante sans cesse: A Celui qui siège sur le trône et à
l'Agneau: bénédiction et honneur et gloire et puissance dans les siècles des
siècles (176).
Après avoir, Vénérables Frères, dans l'explication de ce mystère qui embrasse
notre union mystérieuse avec le Christ, éclairé les esprits de la lumière de la
vérité, comme Docteur de l'Eglise universelle, Nous croyons conforme à Notre
charge pastorale de stimuler aussi les âmes à aimer ce Corps mystique d'une
charité si ardente qu'elle se traduise non seulement en pensées et en paroles,
mais aussi en oeuvres. Si, en effet, les fidèles de l'ancienne Loi ont pu
chanter ceci de leur cité terrestre: Si jamais je t'oublie, Jérusalem, que ma
main droite soit livrée à l'oubli; que ma langue se dessèche dans ma gorge si
je ne me souviens plus de toi, si je ne fais pas de Jérusalem la première de
mes joies (177), avec combien plus de fierté et d'allégresse ne devons-nous pas
exulter d'habiter une cité bâtie de pierres vivantes et élues, sur la montagne
sainte, avec le Christ Jésus comme pierre d'angle suprême! (178)
On ne peut rien concevoir, en effet, de plus glorieux, de plus noble, de plus
honorable que d'appartenir à l'Eglise sainte, catholique, apostolique et
romaine, par laquelle nous devenons les membres d'un Corps si saint, nous
sommes dirigés par un Chef si sublime, nous sommes pénétrés par un seul Esprit
divin; enfin nous sommes nourris en ce terrestre exil d'une seule doctrine et
d'un seul Pain céleste jusqu'à ce que finalement nous allions prendre part à
une seule et éternelle béatitude dans les cieux.
Mais afin de n'être pas trompés par l'ange de ténèbres transfiguré en ange de
lumière (179), que ceci soit la suprême loi de notre amour: aimer l'Epouse du
Christ telle que le Christ l'a voulue et l'a acquise de son sang.
Il faut donc que nous soient très chers, non seulement les sacrements dont nous
sommes nourris par cette pieuse Mère, non seulement les solennités où elle nous
console et nous réjouit, les chants sacrés et les rites liturgiques par
lesquels elle élève nos âmes vers les choses du ciel, mais encore les
sacramentaux et tous ces différents exercices de piété par lesquels elle
pénètre suavement de l'esprit du Christ et console l'âme des fidèles. Nous
avons le devoir non seulement de répondre, en bons fils, à son affection
maternelle, mais aussi de révérer en elle l'autorité reçue du Christ qui
assujettit nos intelligences à l'obéissance du Christ (180); nous devons enfin
obéir à ses lois et à ses préceptes moraux parfois assez pénibles à notre
nature déchue de l'innocence première; de même, dompter notre corps rebelle par
une pénitence volontaire; bien plus, il nous est recommandé de nous interdire
parfois des plaisirs qui n'ont par ailleurs rien de coupable. Et il ne suffit
pas d'aimer ce Corps mystique en raison du Chef divin et des célestes
privilèges qui en font la gloire; il faut l'aimer également d'une ardeur
efficace, tel qu'il se manifeste dans notre chair mortelle, constitué comme il
l'est d'éléments humains et débiles, même si parfois ceux-ci sont indignes de
la place qu'ils occupent dans ce Corps vénérable.
Or, pour que cet amour entier et total réside en nos âmes et croisse de jour en
jour, nous devons nous accoutumer à voir dans l'Eglise le Christ en personne.
C'est le Christ, en effet, qui vit dans son Eglise, c'est lui qui, par elle,
enseigne, gouverne et communique la sainteté; c'est le Christ aussi qui se
manifeste de façon diverse dans les divers membres de sa société. Dès lors donc
que les chrétiens s'efforcent de vivre réellement de ce vivant esprit de foi,
non seulement ils accorderont l'honneur et la soumission qui leur sont dus aux
membres les plus élevés de ce Corps mystique, à ceux-là notamment qui, par
ordre du Chef divin, auront un jour à rendre compte de nos âmes (181), mais ils
affectionneront aussi ceux pour lesquels notre Sauveur a éprouvé un amour très
particulier: Nous voulons dire les infirmes, les blessés, les malades, qui
réclament des soins matériels ou spirituels; les enfants dont l'innocence se
trouve aujourd'hui si facilement en péril et dont l'âme délicate se modèle
comme la cire; les pauvres, enfin, en qui l'on doit, tandis qu'on les secourt,
reconnaître avec une souveraine pitié la personne même de Jésus-Christ.
En effet, l'Apôtre a bien raison de nous en avertir: Bien plutôt, les membres
du Corps qui paraîtront les plus faibles sont plus nécessaires; et ceux que
nous tenons pour les moins honorables du Corps sont ceux que nous entourons de
plus d'honneur (182). Affirmation très grave que, présentement, conscient de
l'obligation impérieuse qui Nous incombe, Nous estimons devoir répéter, tandis
qu'avec une profonde affliction Nous voyons les êtres difformes, déments ou
affectés de maladies héréditaires, comme un fardeau importun pour la société,
privés parfois de la vie; et cette conduite est exaltée par certains comme s'il
s'agissait d'une nouvelle invention du progrès humain, tout à fait conforme à
l'utilité générale. Or, quel homme de coeur ne comprend pas qu'elle s'oppose
violemment non seulement à la loi naturelle et divine (183) inscrite au coeur
de tous, mais aussi au sentiment de tout homme civilisé? Le sang de ces êtres,
plus chers à notre Rédempteur précisément parce qu'ils sont dignes de plus de
commisération, crie de la terre vers Dieu (184).
Mais pour que ne s'affaiblisse point peu à peu cet amour sincère par lequel
nous devons discerner notre Sauveur dans l'Eglise et ses membres, il est très
opportun de considérer Jésus lui-même comme modèle suprême d'amour envers
l'Eglise.
Et d'abord imitons l'immensité de cet amour. Unique est assurément l'Epouse du
Christ, l'Eglise cependant l'amour du divin Epoux s'étend si largement que,
sans exclure personne, il embrasse dans son Epouse le genre humain tout entier.
Si notre Sauveur a répandu son sang, c'est afin de réconcilier avec Dieu sur la
Croix tous les hommes, fussent-ils séparés par la nation et le sang, et de les
faire s'unir en un seul Corps. Le véritable amour de l'Eglise exige donc non seulement
que nous soyons dans le Corps lui-même membres les uns des autres, pleins de
mutuelle sollicitude (185), membres qui doivent se réjouir quand un autre
membre est à l'honneur et souffrir avec lui quand il souffre (186); mais il
exige aussi que, dans les autres hommes non encore unis avec nous dans le Corps
de l'Eglise, nous sachions reconnaître des frères du Christ selon la chair,
appelés avec nous au même salut éternel. Sans doute il ne manque pas de gens,
hélas! aujourd'hui surtout, qui vantent orgueilleusement la lutte, la haine et
la jalousie comme moyens de soulever, d'exalter la dignité et la force de
l'homme. Mais nous, qui discernons avec douleur les fruits lamentables de cette
doctrine, suivons notre Roi pacifique, qui nous a enseigné non seulement à
aimer ceux qui n'appartiennent pas à la même nation ou à la même origine (187),
mais à chérir nos ennemis eux-mêmes (188). L'âme pénétrée de la suave doctrine
de l'Apôtre des Nations, célébrons avec lui la longueur, la largeur, la hauteur
et la profondeur de l'amour du Christ (189); amour que la diversité de peuples
ou de moeurs ne peut briser, que l'immense étendue de l'océan ne peut diminuer,
que les guerres enfin, entreprises pour une cause juste ou injuste, ne peuvent
désagréger.
En cette heure si grave, Vénérables Frères, où tant de douleurs déchirent les
corps et tant de tristesses les âmes, il nous faut tous nous hausser à cet
amour surnaturel, afin que, les forces de tous les gens de bien une fois
associées - et Nous songeons spécialement à ceux qui travaillent dans les
sociétés de secours de tout genre -, l'on subvienne à de si grandes nécessités
spirituelles et matérielles dans une admirable émulation d'affection et de
miséricorde; c'est ainsi que la libéralité généreuse et l'inépuisable fécondité
du Corps mystique de Jésus-Christ resplendiront dans le monde entier.
Mais puisqu'à l'ampleur de l'amour dont le Christ a chéri l'Eglise répond la
constance active de ce même amour, aimons, nous aussi, de la même volonté
persévérante et empressée, le Corps mystique du Christ. Or, il n'est aucun
moment dans la vie de notre Rédempteur où il n'ait travaillé jusqu'à s'épuiser
de fatigue, encore qu'il fût le Fils de Dieu, pour fonder son Eglise et
l'affermir: depuis son Incarnation, alors qu'il jetait les premières bases de
l'Eglise, jusqu'au terme de sa course mortelle, par les exemples les plus
resplendissants de sa sainteté, par sa prédication, ses conversations, ses
appels, ses institutions. Nous désirons donc que tous ceux qui reconnaissent
l'Eglise pour mère considèrent attentivement que, non seulement les ministres
des autels et ceux-là qui se sont consacrés au service de Dieu dans la vie
religieuse, mais tous les autres membres du Corps mystique de Jésus-Christ,
chacun pour sa part, ont le devoir de travailler avec énergie et diligence à
l'édification et à l'accroissement de ce Corps. Nous souhaitons voir y prêter
une attention particulière - ce que d'ailleurs ils font de manière louable -
ceux qui, militant dans les rangs de l'Action catholique, collaborent avec les
évêques et les prêtres dans l'apostolat; et ceux-là aussi qui, dans de pieuses
associations, apportent leur aide à la même fin. Qui ne voit, en effet, que
l'industrieuse activité de tous ces chrétiens dans les circonstances présentes est
du plus haut intérêt et de la plus grande importance?
Nous ne saurions non plus passer ici sous silence les pères et mères de famille
à qui notre Sauveur a confié les membres les plus tendres de son Corps
mystique; Nous les pressons instamment pour l'amour du Christ et de l'Eglise de
veiller avec le soin le plus diligent sur les enfants qui leur sont remis en
dépôt, et de les mettre en garde contre les embûches de tout genre dans
lesquelles il est aujourd'hui si facile de tomber.
Notre Rédempteur a manifesté l'amour brûlant qu'il portait à son Eglise
spécialement par les pieuses supplications qu'il adressa pour elle à son Père
céleste. Tout le monde sait, Vénérables Frères - et Nous Nous contentons de le
rappeler -, que, peu avant de subir le supplice de la Croix, il adressa les
prières les plus ardentes pour Pierre (190), pour les autres apôtres (191),
pour tous ceux enfin qui devaient croire en lui grâce à la prédication de la
parole de Dieu (192). Nous aussi, à l'exemple du Christ, supplions chaque jour
le Seigneur de la moisson d'envoyer des ouvriers dans son champ (193); chaque
jour notre commune supplication doit s'élever vers le ciel et recommander tous
les membres du Corps mystique: d'abord les évêques auxquels est confié le soin
particulier de chaque diocèse; ensuite les prêtres, les religieux et
religieuses qui, appelés au service de Dieu, dans leur propre pays ou dans les
terres païennes, défendent, accroissent, dilatent le royaume du divin
Rédempteur. Que cette commune supplication n'oublie aucun membre de ce Corps
vénérable; qu'elle se souvienne spécialement de ceux qu'accablent les douleurs
et les angoisses de ce séjour terrestre ou que purifie, après leur mort, le feu
expiatoire. Qu'elle n'omette point non plus ceux qui s'initient à la doctrine
chrétienne, afin qu'au plus tôt ils puissent être sanctifiés par l'eau du
Baptême.
Et Nous désirons instamment que ces prières communes visent aussi dans un
ardent amour ceux qui ne seraient pas encore éclairés de la vérité de
l'Evangile ni entrés dans le bercail de l'Eglise; ou qui, par une malheureuse
déchirure de l'unité et de la foi, se trouvent séparés de Nous qui, malgré
Notre indignité, représentons ici-bas la personne de Jésus-Christ. Aussi,
répétons-Nous la divine prière de notre Sauveur à son Père céleste: Qu'ils
soient un, comme toi, mon Père, tu es en moi et moi en toi, afin qu'eux aussi
soient un en nous; pour que le monde croie que tu m'as envoyé (194).
Pour ceux-là mêmes qui n'appartiennent pas à l'organisme visible de l'Eglise,
vous savez bien, Vénérables Frères, que, dès le début de Notre Pontificat, Nous
les avons confiés à la protection et à la conduite du Seigneur, affirmant
solennellement qu'à l'exemple du Bon Pasteur Nous n'avions qu'un seul désir:
Qu'ils aient la vie et qu'ils l'aient en abondance (195). Cette assurance
solennelle, Nous désirons la renouveler, après avoir imploré les prières de
toute l'Eglise dans cette Lettre encyclique, où Nous avons célébré la louange
du " grand et glorieux Corps du Christ " (196), les invitant tous et
chacun de toute Notre affection à céder librement et de bon coeur aux
impulsions intimes de la grâce divine et à s'efforcer de sortir d'un état où
nul ne peut être sûr de son salut éternel (197); car, même si, par un certain
désir et souhait inconscient, ils se trouvent ordonnés au Corps mystique du
Rédempteur, ils sont privés de tant et de si grands secours et faveurs
célestes, dont on ne peut jouir que dans l'Eglise catholique. Qu'ils entrent
donc dans l'unité catholique, et que, réunis avec Nous dans le seul organisme
du Corps de Jésus-Christ, ils accourent tous vers le Chef unique en une très
glorieuse société d'amour (198). Sans jamais interrompre nos prières à l'Esprit
d'amour et de vérité, Nous les attendons les bras grands ouverts, comme des
hommes qui se présentent à la porte, non d'une maison étrangère, mais de leur
propre maison paternelle.
Mais si Nous désirons que monte vers Dieu la commune supplication de tout le
Corps mystique, afin que toutes les brebis errantes rejoignent au plus tôt
l'unique bercail de Jésus-Christ, Nous déclarons pourtant qu'il est absolument
nécessaire que cela se fasse librement et de plein gré, puisque personne ne
croit sans le vouloir (199).
C'est pourquoi s'il en est qui, sans croire, sont en réalité contraints à
entrer dans l'édifice de l'Eglise, à s'approcher de l'autel et à recevoir les
sacrements, ceux-là, sans aucun doute, ne deviennent pas de vrais chrétiens
(200); car la foi sans laquelle on ne peut plaire à Dieu (201) doit être un
libre " hommage de l'intelligence et de la volonté " (202). Si donc
il arrive parfois que, contrairement à la doctrine constante du Siège
apostolique (203), quelqu'un soit amené malgré lui à embrasser la foi
catholique, Nous ne pouvons Nous empêcher, conscient de Notre devoir, de
réprouver un tel procédé. Car, étant donné que les hommes jouissent d'une
volonté libre et peuvent, sous l'impulsion des passions et des convoitises
mauvaises, abuser de leur liberté, il est nécessaire que le Père des lumières,
par l'Esprit de son Fils bien-aimé, les attire efficacement à la vérité. Que si
beaucoup, hélas! errent encore loin de la vérité catholique et ne veulent pas
céder au souffle de la grâce divine, la raison en est que, non seulement
eux-mêmes (204), mais les chrétiens également, n'adressent pas à Dieu à cette
fin des prières plus ferventes. Nous exhortons donc instamment tous ceux qui
brûlent d'amour pour l'Eglise à s'y appliquer sans cesse, à l'exemple du divin
Rédempteur.
Bien plus, surtout dans les conjonctures présentes, il semble non seulement
opportun, mais nécessaire, d'adresser à Dieu des prières ardentes pour les rois
et les princes et pour tous ceux qui, préposés au gouvernement des peuples,
peuvent aider l'Eglise en lui accordant la protection extérieure, afin que tout
rentrant dans l'ordre, la paix oeuvre de la justice (205), au souffle de
l'amour divin, surgisse pour le genre humain fatigué des flots affreux de cette
tempête, et que notre Mère la sainte Eglise puisse mener une vie paisible et
tranquille en toute piété et honnêteté (206).
Il faut demander à Dieu que tous ceux qui commandent aux peuples aiment la
sagesse (207), de telle façon que ce grave verdict du Saint-Esprit ne les
atteigne jamais: Le Très-Haut examinera vos coeurs et sondera vos pensées,
parce que, étant les ministres de sa royauté, vous n'avez pas jugé avec
droiture, ni observé la loi de la justice, ni marché selon la volonté de Dieu.
D'une façon terrible et soudaine, vous comprendrez qu'un jugement très sévère
s'exercera sur ceux qui commandent. Car aux petits on pardonne par pitié, mais
les puissants sont puissamment châtiés. Dieu, en effet, ne cédera devant
personne et ne respectera nulle grandeur; parce qu'il a créé lui-même le petit
et le grand et prend également soin de tous; mais aux plus puissants est
réservé un tourment plus rigoureux. C'est donc à vous, ô rois, que s'adressent
mes discours, afin que vous appreniez la sagesse et ne veniez à tomber (208).
Mais ce n'est pas seulement par son travail incessant et sa prière constante
que le Christ Notre-Seigneur a manifesté son amour envers son Epouse immaculée,
c'est aussi par les douleurs et les angoisses qu'il voulut de plein gré et
amoureusement endurer pour elle. Comme il avait aimé les siens... il les aima
jusqu'à la fin (209). Et il ne s'est acquis l'Eglise que par son propre sang
(210). Acceptons donc de marcher sur les traces sanglantes de notre Roi, comme
le réclame la sécurité de notre salut: Si, en effet, nous lui avons été unis
pour croître avec lui en reproduisant sa mort, nous le serons aussi pour
reproduire sa résurrection (211), et si nous sommes morts avec lui, nous
vivrons avec lui (212). C'est ce que requiert également la véritable et active
charité envers l'Eglise comme envers les âmes qu'elle enfante au Christ. En
effet, quoique notre Sauveur, par ses cruels tourments et sa mort douloureuse,
ait mérité à son Eglise un trésor de grâces absolument infini, cependant, par
un dessein de la Providence divine, ces grâces ne nous sont communiquées que
par degrés, et leur abondance plus ou moins grande dépend largement de nos
bonnes actions qui obtiennent spontanément de Dieu pour les hommes la rosée des
faveurs célestes.Or, cette pluie des grâces célestes sera certainement très
abondante si, non contents d'offrir à Dieu d'ardentes prières, notamment en
participant pieusement, même chaque jour s'il est possible, au Sacrifice
eucharistique, non contents de nous efforcer, par les devoirs de la charité
chrétienne, de soulager les infortunes de tant d'indigents, nous préférons aux
intérêts passagers du monde les biens impérissables, si nous maîtrisons ce
corps mortel par la pénitence volontaire en lui refusant les plaisirs défendus,
en le traitant même avec sévérité et austérité; si enfin nous acceptons
humblement, comme de la main de Dieu, les travaux et souffrances de la vie
présente. Ainsi, selon l'Apôtre, nous compléterons ce qui manque à la passion
du Christ dans notre chair pour son Corps qui est l'Eglise (213).
Tandis que Nous écrivons, Nous avons sous les yeux la multitude, hélas! presque
infinie, des malheureux sur qui Nous pleurons douloureusement: les infirmes,
les pauvres, les mutilés et tant de gens qu'à cause de leurs propres
souffrances ou de celles des leurs il n'est pas rare de voir s'épuiser jusqu'à
mourir. Nous invitons donc paternellement tous ceux qui, pour quelque motif que
ce soit, se trouvent dans la tristesse et l'angoisse à regarder le ciel avec
confiance et à offrir leurs peines à Celui qui, un jour, leur accordera en
retour une abondante récompense. Que tous se souviennent que leur souffrance
n'est point vaine, mais qu'elle leur sera très avantageuse à eux-mêmes et à
l'Eglise si, les regards tournés vers le but, ils la supportent avec patience.
A réaliser efficacement ce dessein concourt très particulièrement l'offrande
quotidienne de soi-même à Dieu, telle que la pratiquent les membres de la
pieuse association appelée Apostolat de la Prière, association que Nous avons à
coeur de recommander spécialement ici comme très agréable à Dieu.
Si à toute époque nous devons associer nos souffrances à celles du divin
Rédempteur pour procurer le salut des âmes, que tous aujourd'hui plus que
jamais s'en fassent un devoir, tandis que la gigantesque conflagration de la
guerre embrase la terre presque entière et engendre tant de morts, tant de
misères, tant de détresses; que tous aujourd'hui se fassent un devoir de
renoncer aux vices, aux séductions du monde, aux plaisirs effrénés du corps,
ainsi qu'à la vanité et à la futilité des biens de la terre, qui ne servent de
rien pour la formation chrétienne de l'esprit, de rien pour la conquête du
ciel. Nous devons bien plutôt graver en nos intelligences les paroles si
autorisées de notre immortel Prédécesseur, Léon le Grand, quand il affirmait
que par le Baptême nous étions devenus la chair du Crucifié (214), et la
splendide prière de saint Ambroise: " Porte-moi, ô Christ, sur la Croix,
qui est le salut des égarés, en laquelle seule se trouvent le repos de ceux qui
sont fatigués et la vie de ceux qui meurent. " (215)
Avant de terminer, Nous ne pouvons Nous retenir d'exhorter à nouveau tous les
chrétiens à chérir leur Mère la sainte Eglise d'un amour empressé et actif.
Pour sa sécurité et son développement de plus en plus heureux, offrons chaque
jour au Père Eternel nos prières, nos travaux et nos angoisses, si vraiment
nous avons à coeur le salut de l'universelle famille humaine rachetée par le
sang divin. Et tandis que le ciel s'assombrit de nuages chargés d'éclairs, et
que de grands périls menacent la communauté humaine tout entière et l'Eglise
elle-même, confions-nous, ainsi que tous nos intérêts, au Père des
miséricordes, en lui adressant cette prière: " Abaissez. vos regards, nous
vous en prions, Seigneur, sur votre famille pour laquelle Notre-Seigneur
Jésus-Christ n'a pas hésité à se livrer aux mains des impies et à subir le
supplice de la Croix. " (216)
Puisse la Vierge Mère de Dieu, Vénérables Frères, réaliser Nos vœux qui sont
assurément aussi les vôtres, et nous obtenir à tous le véritable amour envers
l'Eglise! Puisse nous exaucer la Vierge Mère, dont l'âme très sainte fut, plus
que toutes les autres créatures de Dieu réunies, remplie du divin Esprit de
Jésus-Christ; elle qui accepta " à la place de la nature humaine tout
entière " qu'" un mariage spirituel unît le Fils de Dieu et la nature
humaine " (217).
Ce fut elle qui, par un enfantement admirable, donna le jour au Christ
Notre-Seigneur, source de toute vie céleste et déjà revêtu en son sein virginal
de la dignité de Chef de l'Eglise; ce fut elle qui le présenta nouveau-né aux premiers
d'entre les Juifs et les païens qui étaient venus l'adorer comme Prophète, Roi
et Prêtre. En outre, son Fils unique, cédant à ses maternelles prières, à Cana
de Galilée, opéra le miracle merveilleux par lequel ses disciples crurent en
lui (218). Ce fut elle qui, exempte de toute faute personnelle ou héréditaire,
toujours très étroitement unie à son Fils, le présenta sur le Golgotha au Père
Eternel, en y joignant l'holocauste de ses droits et de son amour de mère,
comme une nouvelle Eve, pour tous les fils d'Adam qui portent la souillure du
péché originel; ainsi celle qui, corporellement, était la mère de notre Chef,
devint spirituellement la mère de tous ses membres, par un nouveau titre de
souffrance et de gloire. Ce fut elle qui obtint par ses prières très puissantes
que l'Esprit du divin Rédempteur, déjà donné sur la Croix, fût communiqué le
jour de la Pentecôte en dons miraculeux à l'Église qui venait de naître. Ce fut
elle enfin qui, en supportant ses immenses douleurs d'une âme pleine de force et
de confiance, plus que tous les chrétiens, vraie Reine des martyrs, compléta ce
qui manquait aux souffrances du Christ... pour son Corps qui est l'Eglise
(219); elle qui entoura le Corps mystique du Christ, né du Coeur percé de notre
Sauveur (220), de la même vigilance maternelle et du même amour empressé avec
lesquels elle avait réchauffé et nourri de son lait l'Enfant Jésus de la
Crèche.
Supplions donc la très sainte Mère de tous les membres du Christ (221), au Cœur
immaculé de laquelle Nous avons consacré avec confiance tous les hommes et qui
maintenant au ciel resplendit dans la gloire de son corps et de son âme et
règne avec son Fils, de multiplier ses instances auprès de lui, pour que les
plus abondants ruisseaux de grâces découlent sans interruption de la Tête dans
tous les membres du Corps mystique et que son patronage très efficace protège
l'Eglise aujourd'hui comme jadis et lui obtienne enfin de Dieu, ainsi qu'à
l'universelle communauté humaine, des temps plus tranquilles.
Fort de cet espoir d'En Haut, comme gage des grâces célestes et témoignage de
Notre particulière bienveillance, Nous accordons de tout Notre cœur, à chacun
d'entre vous, Vénérables Frères, et aux troupeaux confiés à vos soins, la
Bénédiction Apostolique.
(165) Cf. Didachè IX, 4. Cf. BILLMEYER, Die apostolischen Vater, 1924, p. 6.
(165) Cf. Didachè IX, 4. Cf. BILLMEYER, Die apostolischen Vater, 1924, p. 6.
(167) Cf. Eph. V,
22-23.(168) Ps. LXXXIII, 12.
(169) S. AMBROISE, Expos. Evang. sec. Lucam IV, 49. PL 15, 1626.
(170) Gal. II, 20.
(171) I Cor. XV, 10.
(172) Cf. S. THOMAS, Somme théol. II-II, q. 83, art. 5 et 6.
(167) Cf. Eph. V,
22-23.(168) Ps. LXXXIII, 12.
(169) S. AMBROISE, Expos. Evang. sec. Lucam IV, 49. PL 15, 1626.
(170) Gal. II, 20.
(171) I Cor. XV, 10.
(172) Cf. S. THOMAS, Somme théol. II-II, q. 83, art. 5 et 6.
(169) S. AMBROISE, Expos. Evang. sec. Lucam IV, 49. PL 15, 1626.
(170) Gal. II, 20.
(171) I Cor. XV, 10.
(172) Cf. S. THOMAS, Somme théol. II-II, q. 83, art. 5 et 6.
(170) Gal. II, 20.
(171) I Cor. XV, 10.
(172) Cf. S. THOMAS, Somme théol. II-II, q. 83, art. 5 et 6.
(170) Gal. II, 20.
(171) I Cor. XV, 10.
(172) Cf. S. THOMAS, Somme théol. II-II, q. 83, art. 5 et 6.
(171) I Cor. XV, 10.
(172) Cf. S. THOMAS, Somme théol. II-II, q. 83, art. 5 et 6.
(172) Cf. S. THOMAS, Somme théol. II-II, q. 83, art. 5 et 6.
(174) Cf. S. THOMAS, De Veritate, q. 29, art. 4, c.
(175) S. JEAN XIV,
14.(176) Apoc. V, 13.
(177) Ps. CXXXVI, 5-6.
(178) Eph. II, 20; S. PIERRE, I Epître, II, 6.
(174) Cf. S. THOMAS, De Veritate, q. 29, art. 4, c.
(175) S. JEAN XIV,
14.(176) Apoc. V, 13.
(177) Ps. CXXXVI, 5-6.
(178) Eph. II, 20; S. PIERRE, I Epître, II, 6.
(175) S. JEAN XIV,
14.(176) Apoc. V, 13.
(177) Ps. CXXXVI, 5-6.
(178) Eph. II, 20; S. PIERRE, I Epître, II, 6.
(177) Ps. CXXXVI, 5-6.
(178) Eph. II, 20; S. PIERRE, I Epître, II, 6.
(178) Eph. II, 20; S. PIERRE, I Epître, II, 6.
(180) Cf. II Cor. X, 5.
(181) Cf. Hebr. XIII, 17.(182) I Cor. XII, 22-23.
(180) Cf. II Cor. X, 5.
(181) Cf. Hebr. XIII, 17.(182) I Cor. XII, 22-23.
(181) Cf. Hebr. XIII, 17.(182) I Cor. XII, 22-23.
(184) Gen. IV, 10.(185) Cf. Rom.
XII, 5; I Cor. XII, 25.
(186) I Cor. XII, 26.
(187) Cf. S. LUC X, 33-37.
(188) Cf. S. LUC VI, 27-35; S. MATTH. V, 44-48.
(189) Eph. III, 18.(190) Cf. S. LUC XXII, 32.
(191) Cf. S. JEAN XVII, 9-19.
(192) Cf. S. JEAN
XVII, 20-23.
(193) S. MATTH. IX, 38; S. LUC X, 2.(194) S. JEAN XVII, 21.
(195) PIE XII, Lettre encyclique Summi Pontificatus du 20
octobre 1939. AAS XXXI (1939) 419; S. JEAN X, 10.
(196) S. IRÉNÉE, Adv. Haer., IV, 33, 7. PG 7, 1076.
(197) Cf. PIE IX, Iam vos omnes, 13 sept. 1868. Act. Conc. Vat., CL VII, 10.
(198) Cf. S. GÉLASE I, Epist. XIV. PL 59, 89.
(199) Cf. S. AUGUSTIN, In Ioann. Ev. tract., XXVI, 2. PL 30, 1607.
(184) Gen. IV, 10.(185) Cf. Rom.
XII, 5; I Cor. XII, 25. (186) I Cor. XII, 26.
(187) Cf. S. LUC X, 33-37.
(188) Cf. S. LUC VI, 27-35; S. MATTH. V, 44-48.
(189) Eph. III, 18.(190) Cf. S. LUC XXII, 32.
(191) Cf. S. JEAN XVII, 9-19.
(192) Cf. S. JEAN XVII, 20-23.
(193) S. MATTH. IX, 38; S. LUC X, 2.(194) S. JEAN XVII, 21.
(195) PIE XII, Lettre encyclique Summi Pontificatus du 20 octobre 1939. AAS XXXI (1939) 419; S. JEAN X, 10.
(196) S. IRÉNÉE, Adv. Haer., IV, 33, 7. PG 7, 1076.
(197) Cf. PIE IX, Iam vos omnes, 13 sept. 1868. Act. Conc. Vat., CL VII, 10.
(198) Cf. S. GÉLASE I, Epist. XIV. PL 59, 89.
(199) Cf. S. AUGUSTIN, In Ioann. Ev. tract., XXVI, 2. PL 30, 1607.
(186) I Cor. XII, 26.
(187) Cf. S. LUC X, 33-37.
(188) Cf. S. LUC VI, 27-35; S. MATTH. V, 44-48.
(189) Eph. III, 18.(190) Cf. S. LUC XXII, 32.
(191) Cf. S. JEAN XVII, 9-19.
(192) Cf. S. JEAN XVII, 20-23.
(193) S. MATTH. IX, 38; S. LUC X, 2.(194) S. JEAN XVII, 21.
(195) PIE XII, Lettre encyclique Summi Pontificatus du 20 octobre 1939. AAS XXXI (1939) 419; S. JEAN X, 10.
(196) S. IRÉNÉE, Adv. Haer., IV, 33, 7. PG 7, 1076.
(197) Cf. PIE IX, Iam vos omnes, 13 sept. 1868. Act. Conc. Vat., CL VII, 10.
(198) Cf. S. GÉLASE I, Epist. XIV. PL 59, 89.
(199) Cf. S. AUGUSTIN, In Ioann. Ev. tract., XXVI, 2. PL 30, 1607.
(187) Cf. S. LUC X, 33-37.
(188) Cf. S. LUC VI, 27-35; S. MATTH. V, 44-48.
(189) Eph. III, 18.(190) Cf. S. LUC XXII, 32.
(191) Cf. S. JEAN XVII, 9-19.
(192) Cf. S. JEAN XVII, 20-23.
(193) S. MATTH. IX, 38; S. LUC X, 2.(194) S. JEAN XVII, 21.
(195) PIE XII, Lettre encyclique Summi Pontificatus du 20 octobre 1939. AAS XXXI (1939) 419; S. JEAN X, 10.
(196) S. IRÉNÉE, Adv. Haer., IV, 33, 7. PG 7, 1076.
(197) Cf. PIE IX, Iam vos omnes, 13 sept. 1868. Act. Conc. Vat., CL VII, 10.
(198) Cf. S. GÉLASE I, Epist. XIV. PL 59, 89.
(199) Cf. S. AUGUSTIN, In Ioann. Ev. tract., XXVI, 2. PL 30, 1607.
(188) Cf. S. LUC VI, 27-35; S. MATTH. V, 44-48.
(189) Eph. III, 18.(190) Cf. S. LUC XXII, 32.
(191) Cf. S. JEAN XVII, 9-19.
(192) Cf. S. JEAN XVII, 20-23.
(193) S. MATTH. IX, 38; S. LUC X, 2.(194) S. JEAN XVII, 21.
(195) PIE XII, Lettre encyclique Summi Pontificatus du 20 octobre 1939. AAS XXXI (1939) 419; S. JEAN X, 10.
(196) S. IRÉNÉE, Adv. Haer., IV, 33, 7. PG 7, 1076.
(197) Cf. PIE IX, Iam vos omnes, 13 sept. 1868. Act. Conc. Vat., CL VII, 10.
(198) Cf. S. GÉLASE I, Epist. XIV. PL 59, 89.
(199) Cf. S. AUGUSTIN, In Ioann. Ev. tract., XXVI, 2. PL 30, 1607.
(189) Eph. III, 18.(190) Cf. S. LUC XXII, 32.
(191) Cf. S. JEAN XVII, 9-19.
(192) Cf. S. JEAN XVII, 20-23.
(193) S. MATTH. IX, 38; S. LUC X, 2.(194) S. JEAN XVII, 21.
(195) PIE XII, Lettre encyclique Summi Pontificatus du 20 octobre 1939. AAS XXXI (1939) 419; S. JEAN X, 10.
(196) S. IRÉNÉE, Adv. Haer., IV, 33, 7. PG 7, 1076.
(197) Cf. PIE IX, Iam vos omnes, 13 sept. 1868. Act. Conc. Vat., CL VII, 10.
(198) Cf. S. GÉLASE I, Epist. XIV. PL 59, 89.
(199) Cf. S. AUGUSTIN, In Ioann. Ev. tract., XXVI, 2. PL 30, 1607.
(191) Cf. S. JEAN XVII, 9-19.
(192) Cf. S. JEAN XVII, 20-23.
(193) S. MATTH. IX, 38; S. LUC X, 2.(194) S. JEAN XVII, 21.
(195) PIE XII, Lettre encyclique Summi Pontificatus du 20 octobre 1939. AAS XXXI (1939) 419; S. JEAN X, 10.
(196) S. IRÉNÉE, Adv. Haer., IV, 33, 7. PG 7, 1076.
(197) Cf. PIE IX, Iam vos omnes, 13 sept. 1868. Act. Conc. Vat., CL VII, 10.
(198) Cf. S. GÉLASE I, Epist. XIV. PL 59, 89.
(199) Cf. S. AUGUSTIN, In Ioann. Ev. tract., XXVI, 2. PL 30, 1607.
(192) Cf. S. JEAN XVII, 20-23.
(193) S. MATTH. IX, 38; S. LUC X, 2.(194) S. JEAN XVII, 21.
(195) PIE XII, Lettre encyclique Summi Pontificatus du 20 octobre 1939. AAS XXXI (1939) 419; S. JEAN X, 10.
(196) S. IRÉNÉE, Adv. Haer., IV, 33, 7. PG 7, 1076.
(197) Cf. PIE IX, Iam vos omnes, 13 sept. 1868. Act. Conc. Vat., CL VII, 10.
(198) Cf. S. GÉLASE I, Epist. XIV. PL 59, 89.
(199) Cf. S. AUGUSTIN, In Ioann. Ev. tract., XXVI, 2. PL 30, 1607.
(193) S. MATTH. IX, 38; S. LUC X, 2.(194) S. JEAN XVII, 21.
(195) PIE XII, Lettre encyclique Summi Pontificatus du 20 octobre 1939. AAS XXXI (1939) 419; S. JEAN X, 10.
(196) S. IRÉNÉE, Adv. Haer., IV, 33, 7. PG 7, 1076.
(197) Cf. PIE IX, Iam vos omnes, 13 sept. 1868. Act. Conc. Vat., CL VII, 10.
(198) Cf. S. GÉLASE I, Epist. XIV. PL 59, 89.
(199) Cf. S. AUGUSTIN, In Ioann. Ev. tract., XXVI, 2. PL 30, 1607.
(195) PIE XII, Lettre encyclique Summi Pontificatus du 20 octobre 1939. AAS XXXI (1939) 419; S. JEAN X, 10.
(196) S. IRÉNÉE, Adv. Haer., IV, 33, 7. PG 7, 1076.
(197) Cf. PIE IX, Iam vos omnes, 13 sept. 1868. Act. Conc. Vat., CL VII, 10.
(198) Cf. S. GÉLASE I, Epist. XIV. PL 59, 89.
(199) Cf. S. AUGUSTIN, In Ioann. Ev. tract., XXVI, 2. PL 30, 1607.
(196) S. IRÉNÉE, Adv. Haer., IV, 33, 7. PG 7, 1076.
(197) Cf. PIE IX, Iam vos omnes, 13 sept. 1868. Act. Conc. Vat., CL VII, 10.
(198) Cf. S. GÉLASE I, Epist. XIV. PL 59, 89.
(199) Cf. S. AUGUSTIN, In Ioann. Ev. tract., XXVI, 2. PL 30, 1607.
(197) Cf. PIE IX, Iam vos omnes, 13 sept. 1868. Act. Conc. Vat., CL VII, 10.
(198) Cf. S. GÉLASE I, Epist. XIV. PL 59, 89.
(199) Cf. S. AUGUSTIN, In Ioann. Ev. tract., XXVI, 2. PL 30, 1607.
(198) Cf. S. GÉLASE I, Epist. XIV. PL 59, 89.
(199) Cf. S. AUGUSTIN, In Ioann. Ev. tract., XXVI, 2. PL 30, 1607.
(198) Cf. S. GÉLASE I, Epist. XIV. PL 59, 89.
(199) Cf. S. AUGUSTIN, In Ioann. Ev. tract., XXVI, 2. PL 30, 1607.
(199) Cf. S. AUGUSTIN, In Ioann. Ev. tract., XXVI, 2. PL 30, 1607.
(201) Hebr. XI, 6.
(202) Concile du Vatican: Const. de fide cath., sess. III, ch. 3. Denzinger n. 1790.
(203) Cf. LÉON XIII, Lettre encyclique Immortale Dei du 1er novembre 1885. ASS XVIII (1885) 174-175; Code de Droit Canon, c. 1351.
(204) Cf. S. AUGUSTIN, loc. cit.
(205) ISAÏE XXXII, 17.
(206) I Tim. II, 2.
(201) Hebr. XI, 6.
(202) Concile du Vatican: Const. de fide cath., sess. III, ch. 3. Denzinger n. 1790.
(203) Cf. LÉON XIII, Lettre encyclique Immortale Dei du 1er novembre 1885. ASS XVIII (1885) 174-175; Code de Droit Canon, c. 1351.
(204) Cf. S. AUGUSTIN, loc. cit.
(205) ISAÏE XXXII, 17.
(206) I Tim. II, 2.
(202) Concile du Vatican: Const. de fide cath., sess. III, ch. 3. Denzinger n. 1790.
(203) Cf. LÉON XIII, Lettre encyclique Immortale Dei du 1er novembre 1885. ASS XVIII (1885) 174-175; Code de Droit Canon, c. 1351.
(204) Cf. S. AUGUSTIN, loc. cit.
(205) ISAÏE XXXII, 17.
(206) I Tim. II, 2.
(203) Cf. LÉON XIII, Lettre encyclique Immortale Dei du 1er novembre 1885. ASS XVIII (1885) 174-175; Code de Droit Canon, c. 1351.
(204) Cf. S. AUGUSTIN, loc. cit.
(205) ISAÏE XXXII, 17.
(206) I Tim. II, 2.
(204) Cf. S. AUGUSTIN, loc. cit.
(205) ISAÏE XXXII, 17.
(206) I Tim. II, 2.
(205) ISAÏE XXXII, 17.
(206) I Tim. II, 2.
(206) I Tim. II, 2.
(208) Sagesse VI, 4-10.
(209) S. JEAN XIII, 1.
(210) Actes XX, 28.
(211) Rom. VI, 5.
(212) II Tim. II, 11.
(213) Col. I, 24.(214) Cf. S. LÉON LE GRAND, Sermo LXIII, 6; Sermo LXVI, 3 PL 54, 357 et 366.
(215) S. AMBROISE, In Ps. CXVIII, XXII, 30. PL 15, 1521.(216) Office de la Semaine Sainte.
(217) S. THOMAS, Somme théol. III, q. 30, art. 1.
(218) S. JEAN II, 11.
(219) Col. I, 24.
(220) Cf. Office de la fête du Sacré-Coeur, hymne des Vêpres.(221) Cf. PIE X, Lettre encyclique Ad diem illum du 2 février 1904. ASS XXXVI (1903-1904) 453.
(208) Sagesse VI, 4-10.
(209) S. JEAN XIII, 1.
(210) Actes XX, 28.
(211) Rom. VI, 5.
(212) II Tim. II, 11.
(213) Col. I, 24.(214) Cf. S. LÉON LE GRAND, Sermo LXIII, 6; Sermo LXVI, 3 PL 54, 357 et 366.
(215) S. AMBROISE, In Ps. CXVIII, XXII, 30. PL 15, 1521.(216) Office de la Semaine Sainte.
(217) S. THOMAS, Somme théol. III, q. 30, art. 1.
(218) S. JEAN II, 11.
(219) Col. I, 24.
(220) Cf. Office de la fête du Sacré-Coeur, hymne des Vêpres.(221) Cf. PIE X, Lettre encyclique Ad diem illum du 2 février 1904. ASS XXXVI (1903-1904) 453.
(209) S. JEAN XIII, 1.
(210) Actes XX, 28.
(211) Rom. VI, 5.
(212) II Tim. II, 11.
(213) Col. I, 24.(214) Cf. S. LÉON LE GRAND, Sermo LXIII, 6; Sermo LXVI, 3 PL 54, 357 et 366.
(215) S. AMBROISE, In Ps. CXVIII, XXII, 30. PL 15, 1521.(216) Office de la Semaine Sainte.
(217) S. THOMAS, Somme théol. III, q. 30, art. 1.
(218) S. JEAN II, 11.
(219) Col. I, 24.
(220) Cf. Office de la fête du Sacré-Coeur, hymne des Vêpres.(221) Cf. PIE X, Lettre encyclique Ad diem illum du 2 février 1904. ASS XXXVI (1903-1904) 453.
(210) Actes XX, 28.
(211) Rom. VI, 5.
(212) II Tim. II, 11.
(213) Col. I, 24.(214) Cf. S. LÉON LE GRAND, Sermo LXIII, 6; Sermo LXVI, 3 PL 54, 357 et 366.
(215) S. AMBROISE, In Ps. CXVIII, XXII, 30. PL 15, 1521.(216) Office de la Semaine Sainte.
(217) S. THOMAS, Somme théol. III, q. 30, art. 1.
(218) S. JEAN II, 11.
(219) Col. I, 24.
(220) Cf. Office de la fête du Sacré-Coeur, hymne des Vêpres.(221) Cf. PIE X, Lettre encyclique Ad diem illum du 2 février 1904. ASS XXXVI (1903-1904) 453.
(211) Rom. VI, 5.
(212) II Tim. II, 11.
(213) Col. I, 24.(214) Cf. S. LÉON LE GRAND, Sermo LXIII, 6; Sermo LXVI, 3 PL 54, 357 et 366.
(215) S. AMBROISE, In Ps. CXVIII, XXII, 30. PL 15, 1521.(216) Office de la Semaine Sainte.
(217) S. THOMAS, Somme théol. III, q. 30, art. 1.
(218) S. JEAN II, 11.
(219) Col. I, 24.
(220) Cf. Office de la fête du Sacré-Coeur, hymne des Vêpres.(221) Cf. PIE X, Lettre encyclique Ad diem illum du 2 février 1904. ASS XXXVI (1903-1904) 453.
(212) II Tim. II, 11.
(213) Col. I, 24.(214) Cf. S. LÉON LE GRAND, Sermo LXIII, 6; Sermo LXVI, 3 PL 54, 357 et 366.
(215) S. AMBROISE, In Ps. CXVIII, XXII, 30. PL 15, 1521.(216) Office de la Semaine Sainte.
(217) S. THOMAS, Somme théol. III, q. 30, art. 1.
(218) S. JEAN II, 11.
(219) Col. I, 24.
(220) Cf. Office de la fête du Sacré-Coeur, hymne des Vêpres.(221) Cf. PIE X, Lettre encyclique Ad diem illum du 2 février 1904. ASS XXXVI (1903-1904) 453.
(213) Col. I, 24.(214) Cf. S. LÉON LE GRAND, Sermo LXIII, 6; Sermo LXVI, 3 PL 54, 357 et 366.
(215) S. AMBROISE, In Ps. CXVIII, XXII, 30. PL 15, 1521.(216) Office de la Semaine Sainte.
(217) S. THOMAS, Somme théol. III, q. 30, art. 1.
(218) S. JEAN II, 11.
(219) Col. I, 24.
(220) Cf. Office de la fête du Sacré-Coeur, hymne des Vêpres.(221) Cf. PIE X, Lettre encyclique Ad diem illum du 2 février 1904. ASS XXXVI (1903-1904) 453.
(215) S. AMBROISE, In Ps. CXVIII, XXII, 30. PL 15, 1521.(216) Office de la Semaine Sainte.
(217) S. THOMAS, Somme théol. III, q. 30, art. 1.
(218) S. JEAN II, 11.
(219) Col. I, 24.
(220) Cf. Office de la fête du Sacré-Coeur, hymne des Vêpres.(221) Cf. PIE X, Lettre encyclique Ad diem illum du 2 février 1904. ASS XXXVI (1903-1904) 453.
(217) S. THOMAS, Somme théol. III, q. 30, art. 1.
(218) S. JEAN II, 11.
(219) Col. I, 24.
(220) Cf. Office de la fête du Sacré-Coeur, hymne des Vêpres.(221) Cf. PIE X, Lettre encyclique Ad diem illum du 2 février 1904. ASS XXXVI (1903-1904) 453.
(218) S. JEAN II, 11.
(219) Col. I, 24.
(220) Cf. Office de la fête du Sacré-Coeur, hymne des Vêpres.(221) Cf. PIE X, Lettre encyclique Ad diem illum du 2 février 1904. ASS XXXVI (1903-1904) 453.
(219) Col. I, 24.
(220) Cf. Office de la fête du Sacré-Coeur, hymne des Vêpres.(221) Cf. PIE X, Lettre encyclique Ad diem illum du 2 février 1904. ASS XXXVI (1903-1904) 453.
(220) Cf. Office de la fête du Sacré-Coeur, hymne des Vêpres.(221) Cf. PIE X, Lettre encyclique Ad diem illum du 2 février 1904. ASS XXXVI (1903-1904) 453.
Donné à Rome, près
St-Pierre, en la fête des saints Apôtres Pierre et Paul, le 29 juin de l'an
1943, le cinquième de Notre Pontificat.
NOTES
(164) MALACHIE I, 11.
(166) Rom. VIII, 35.
(173) I Tim. II, 5.
(179)
Cf. II Cor. XI, 14.
(183)
Cf. Décret du Saint-Office du 2 déc. 1940. AAS XXXII (1940) 553.
(200) Cf. S. AUGUSTIN, In Joann. Ev. tract., XXVI,
2. PL 30, 1607.
(207)
Cf. Sagesse VI, 23.
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